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Coup de projecteur sur l'agriculture Terre d’Infos : « La chaîne du mieux vivre » s’installe au Sial

A l’occasion du Sial (Salon international de l'Agroalimentaire) du 19 au 23 octobre 2008, Terre d’infos implantera son plateau de télévision au cœur du salon sur le French export corner.

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"Avec Terre d'infos les chambres d'agriculture et les partenaires
du monde agricole apportent de la fraîcheur à la télévision
française" souligne Luc Guyau (© Terre-net Média)
Outil puissant de promotion du monde agricole « Terre d’infos » installera, dimanche, ses studios sur l’espace French exporte corner du Sial, pour informer et communiquer auprès du grand public les sujets d’actualités du monde agricole et de l’agroalimentaire.

La ligne éditoriale de Terre d’infos se décline en 4 thématiques : alimentation & santé, environnement & développement durable, métiers, emploi & formation, tourisme, loisirs & culture. Objectif : mettre en avant la présence de l’agriculture dans le quotidien, autrement dit traduire concrètement le rôle du secteur agricole dans la vie courante des français, en répondant à leurs préoccupations et à leur curiosité.

Mettre en avant, la présence de l’agriculture dans le quotidien des français

Créée en 2006, Terre d’infos est diffusée depuis le 1e octobre et jusqu’au 30 octobre 2008 sur CanalSat, free, Orange, ainsi que sur Internet. Sur le Sial 2008, 20 émissions de télévision animeront le plateau durant les 4 jours du salon. Au programme, de nombreuses émissions dont le journal télévisé (Romain Hussenot), « c’est notre avenir » (Jérémie Côme), « posez votre question » (Fabrice Drouelle) et « le débat de Terre d'Infos».

« Cette chaîne multithématique, initiée et éditée par l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture (Apca), est née dans le cadre du Salon international de l’agriculture (Sia), elle a désormais pour vocation de devenir permanente. L’implantation de Terre d’infos au Sial constitue une nouvelle étape de son développement » selon son président Luc Guyau.

Avec cette action, il semble que l’Apca reprend à son compte, ce que la profession agricole n’a pas décider de réaliser avec l’Aficar.

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